mercredi 27 novembre 2013
Hommage
Aujourd'hui mercredi 27 novembre 2013, c'est le 66ème anniversaire de l'accident d'avion qui le 27 novembre 1947, en Algérie, prés de Béchar, causa la mort du général Leclerc, de 11 autres militaires français et de l'ex-empereur d'Annam DUY TAN. Je leur consacre cette journée et salue leur mémoire.
lundi 14 octobre 2013
Lettre N°287 du 12 octobre 2013
Raymond PIERRE le 12 octobre 2013 N°287
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
C'est presque un conte de fée. Le 7 octobre, j'écris à Christophe LANTOINE, chef de cabinet de Arnaud MONTEBOURG, Ministre du Redressement Productif: «Je suis un des trop peu nombreux possesseurs du livre de Marie-Thérèse Morlet, Dictionnaire étymologique des NOMS DE FAMILLE, édité par PERRIN en 1991. Il a été réédité en 1997. C'est alors que je l'ai acheté 248 francs. Mon libraire m'a fourni des renseignements sur la vie et l'œuvre de Marie-Thérèse Morlet... Je lui en ai demandé d'autres. L'entrée MONT dit que le mot apparaît rarement isolément. A Montebourg, on lit:(Manche) silva montis burgi 1042 Montebourc XVème siècle. C'est peu et c'est beaucoup. Il en ressort, en effet, que le premier homme à être appelé Montebourg habitait un coin perdu de l'actuel département de la Manche et qu'on l'appelait ainsi parce qu'il se logeait dans un endroit boisé, silva, non loin d'un bourg. L'extraordinaire, c'est qu'on sait cela par un acte daté de 1042, alors qu'il est très rare de pouvoir dater l'origine d'un nom de famille par un écrit remontant aussi loin dans le temps...1042, le XIème siècle, c'est aussi l'époque où de preux chevaliers normands; Giscard et ses frères notamment, quittent la péninsule et vont se battre pour le pape dans le talon de la botte italienne. Ils créeront le royaume normand des deux Siciles, capitale Palerme, qui durera deux siècles. On devrait retrouver ça et là en Italie trace du nom des Montebourg. Ci-joint le document. La saga normande des Montebourg réserverait, je crois, d'autres découvertes à des historiens. ».
Dans une note manuscrite jointe à ma lettre, je dis :« Il est probable que Morlet a trouvé l'acte dans un capitulaire, recueil des chartes d'une abbaye aussi bien que d'un moulin. En le consultant, on saurait où vivait ce premier Montebourg ». Le plus beau serait de trouver des descendants italiens de Montebourg, des Monteborgio, ou quelque chose comme ça.
La plupart des français ne connaissent pas, ou mal, l'histoire de leur région. Dans la Manche, à Granville, beaucoup savent que les Normands, remontant les fleuves, transportant parfois leurs bateaux sur terre, s'étaient établis un peu partout, créant ça et là duchés et royaumes. Cela fait partie de notre histoire nationale. Les mêmes, par contre, ne savent pas que c'est du château d'un haut-lieu situé quelques dizaines de kilomètres au nord de leur ville que partirent les héros de l'épopée qui aboutit à la conquête d'une partie de l'Italie par les Normands. Conclusion: peut-être serait-il bon de donner une place un tout petit peu plus grande à l'histoire régionale ?
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos Penché, 14570 CLECY.
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
C'est presque un conte de fée. Le 7 octobre, j'écris à Christophe LANTOINE, chef de cabinet de Arnaud MONTEBOURG, Ministre du Redressement Productif: «Je suis un des trop peu nombreux possesseurs du livre de Marie-Thérèse Morlet, Dictionnaire étymologique des NOMS DE FAMILLE, édité par PERRIN en 1991. Il a été réédité en 1997. C'est alors que je l'ai acheté 248 francs. Mon libraire m'a fourni des renseignements sur la vie et l'œuvre de Marie-Thérèse Morlet... Je lui en ai demandé d'autres. L'entrée MONT dit que le mot apparaît rarement isolément. A Montebourg, on lit:(Manche) silva montis burgi 1042 Montebourc XVème siècle. C'est peu et c'est beaucoup. Il en ressort, en effet, que le premier homme à être appelé Montebourg habitait un coin perdu de l'actuel département de la Manche et qu'on l'appelait ainsi parce qu'il se logeait dans un endroit boisé, silva, non loin d'un bourg. L'extraordinaire, c'est qu'on sait cela par un acte daté de 1042, alors qu'il est très rare de pouvoir dater l'origine d'un nom de famille par un écrit remontant aussi loin dans le temps...1042, le XIème siècle, c'est aussi l'époque où de preux chevaliers normands; Giscard et ses frères notamment, quittent la péninsule et vont se battre pour le pape dans le talon de la botte italienne. Ils créeront le royaume normand des deux Siciles, capitale Palerme, qui durera deux siècles. On devrait retrouver ça et là en Italie trace du nom des Montebourg. Ci-joint le document. La saga normande des Montebourg réserverait, je crois, d'autres découvertes à des historiens. ».
Dans une note manuscrite jointe à ma lettre, je dis :« Il est probable que Morlet a trouvé l'acte dans un capitulaire, recueil des chartes d'une abbaye aussi bien que d'un moulin. En le consultant, on saurait où vivait ce premier Montebourg ». Le plus beau serait de trouver des descendants italiens de Montebourg, des Monteborgio, ou quelque chose comme ça.
La plupart des français ne connaissent pas, ou mal, l'histoire de leur région. Dans la Manche, à Granville, beaucoup savent que les Normands, remontant les fleuves, transportant parfois leurs bateaux sur terre, s'étaient établis un peu partout, créant ça et là duchés et royaumes. Cela fait partie de notre histoire nationale. Les mêmes, par contre, ne savent pas que c'est du château d'un haut-lieu situé quelques dizaines de kilomètres au nord de leur ville que partirent les héros de l'épopée qui aboutit à la conquête d'une partie de l'Italie par les Normands. Conclusion: peut-être serait-il bon de donner une place un tout petit peu plus grande à l'histoire régionale ?
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos Penché, 14570 CLECY.
mardi 17 septembre 2013
Lettre n°286 du 17 septembre 2013
Raymond PIERRE le 17 septembre 2013 N° 286
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos Penché, 14570 CLECY.
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
J'ai reçu de Jean-Christophe GAUCHARD, président de l'amicale des anciens de Louis Liard, la lettre suivante, datée du 11 septembre 2013: « Monsieur, vous n'avez pas été invité à l'assemblée générale 2013 car elle n'a pas encore eu lieu. En effet, il n'était pas possible de la faire au printemps et j'envisage la faire au mois d'octobre ou de novembre. Pour cette assemblée générale, les membres recevront le bulletin 2013 qui reprendra quelques-uns de vos écrits concernant le collège Louis Liard. J'envisage faire une réunion de pour fixer (sic) la date de l'assemblée générale lors de la venue à Falaise de Monsieur Ambroise Liard, descendant de Louis Liard et qui viendra a la librairie du Conquérant pour dédicacer le troisième roman qu'il publie... J'ai bien reçu votre cotisation et la garde sous le coude pour le moment. Nous nous posons en effet des questions sur l'avenir de cette amicale ayant de moins en moins de personnes présentes aux assemblés générales malgré les manifestations qui s 'y rattachent (inauguration du square Louis Liard, inauguration du buste de Louis Liard). Ce point sera évoqué lors de la prochaine assemblée générale. Je reçois vos lettres adressées aux conseillers municipaux de Clécy et les lis puisque j'en suis le destinataire et je les transmettrai aux membres du Conseil d'Administration même si celles-ci ne concernent pas la vie de l'amicale.... L'amicale a été créée en 1884 par Louis Liard. Elle a été mise en veille dans les années cinquante et a été remise en place par Madame Bernadette Constant en 1981 .... En aucun cas, je n 'exclus un membre de l'amicale. Et si cela était le cas pour un manque vis-a-vis des statuts, je le ferai avec les membres de l'amicale et j'informerai la personne concernée... Enfin, je ne pense pas me reconnaître dans le groupe de Falaisiens dont vous êtes selon vous la bête noire Je n 'habite plus Falaise depuis bientôt trente ans et même si je reste très attaché à cette ville (et c'est pourquoi vos souvenirs de cette ville sont pour moi très intéressants), je n'ai aucune connivence avec quelque groupe falaisien. Pour répondre a votre question du 29 août, dont je n'ai pu répondre immédiatement: le principal du collège qui a succédé a M Grivel était M Laurent qui a été le principal du collège de 1936 à 1952. PS: Vous recevrez en octobre une convocation pour l'assemblée générale 2013 ».
Je reconnais volontiers que c'est à tort que j'ai accusé le Président Gauchard de ne pas m'avoir informé de la date de réunion de l'assemblée générale. Il ne le pouvait pas, puisqu'elle n'avait pas eu lieu au printemps, comme d'habitude. Je lui présente mes excuses et le prie de bien vouloir me pardonner mon erreur, le bon côté de la situation étant que sortis du brouillard, on y voit plus clair. Il n'a, bien sûr, absolument rien a voir avec le brelan de Falaisiens qui m'en veulent à mort parce que je soutiens François Hollande et le gouvernement. Nous pouvons donc continuer à parler ensemble du collège Louis Liard, au début des années trente, où je l'ai connu étroitement enserré dans les hauts murs du château de Guillaume le Conquérant. Je me demande si je me trompe ou non en pensant que le père Guilloteau, dont j'ai oublié le prénom si je l'ai jamais su, qui fut mon premier prof d'histoire, qui m'en a insufflé le goût, que j'aimais bien et qui m'aimait bien, était en même temps le maire de la ville de Falaise, comme je le croyais. Je compte sur notre président pour me le dire, de même qu'il m'a déjà rappelé que le principal qui refusa de me reprendre au collège Louis Liard à mon retour d'Espagne, pour ma plus grande chance puisque c'est ce qui me permit de passer mes deux bacs au lycée Malherbe de Caen et d'entrer ensuite en khâgne à Henri IV, s'appelait Laurent. Ainsi va la vie. Pour faire nombre, je me propose d'assister à la prochaine assemblée générale.
Le Clos Penché, 14570 CLECY.
mardi 10 septembre 2013
Lettre n°285 du 10 septembre 2013
Raymond PIERRE le 10 septembre 2013 N° 285
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Le Clos Penché, 14570 CLECY.
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
A mon corps défendant, je suis devenu la bête noire d'un groupe de Falaisiens, je vais vous dire pourquoi à grands traits mais aussi, comme toujours, sur documents écrits. Le 8 septembre 2012, j'écris au docteur Pascale AUBIGNY, ophtalmologiste à Falaise: « J'ai rendez-vous avec vous pour le mardi 13 novembre à 11H00. Mon beau-père, Maurice NICOLAS, a été le maire de la reconstruction de Falaise après la Libération. * Ci-joint un curriculum vitae et ma dernière lettre aux conseillers municipaux de Clécy. formule purement littéraire. Sauf avis contraire de votre part, vous recevrez les suivantes. Je mets ma confiance en vous pour prendre soin de ma vue ». C'est donc bien avec son aval que je lui ai envoyé mes lettres. Le 16 juillet 2013, je lui écris: « Vous m'aviez donné rendez-vous avec vous pour le vendredi 14 juin. Vous l'avez reporté au 21 juin, puis au 28 juin et finalement a septembre J'ai absolument besoin de savoir si je peux encore compter sur vous. Je vous prie de bien vouloir me le dire et, le cas échéant, pour quelle raison vous ne pouvez plus me soigner ». Le 18 juillet, dans une lettre manuscrite de deux pages, difficilement lisible, que je suis obligé de me faire déchiffrer, Pascale d'AUBIGNY me répond: « Il n'a jamais été dans mon habitude, ni dans ma conception de la médecine de refuser un patient. Si votre rendez-vous n'a pas été respecté, c'est parce que je ne pouvais pas faire autrement; si vous souhaitez changer de praticien, je me ferai un devoir, mais pas avant la rentrée de septembre, de faire suivre votre dossier au dit confrère P.S./ Votre affaire concernant la commune de Clécy, pour intéressante qu'elle soit, ne me concerne en rien, ne dépendant pas de cette commune, ni même de sa circonscription, vous pouvez de ce fait éviter les envois concernant cette affaire ».* Pas de polémique. Pour l'heure, je veux seulement placer le comportement de Pascale d'AUBIGNY dans le cadre de l'offensive falaisienne contre moi. Le moment venu, je ferai demander à l'Ordre des Médecins d'ouvrir une enquête sur ce comportement. * Falaise est généralement donnée comme une des villes françaises les mieux reconstruites de l'après dernière guerre.
Le 13 novembre 2012, j'écris au proviseur du Lycée Louis Liard à Falaise: « A la suite d'une lettre que je viens de recevoir du président de l'Amicale des Anciens Elèves, je vous envoie un exemplaire de ma dernière lettre aux conseillers municipaux de Clécy et vous rends destinataire des suivantes». Le 28 août 2013, Monsieur DUVAL-ROCHER, proviseur du Lycée Louis Liard, m'écrit: « Je vous saurais gré de bien vouloir ne plus nous adresser vos courriers qui ne nous concernent en aucune façon » Le 29 août, je lui envoie une copie de sa lettre avec, en-dessous: « Prière de me dire si, dans cette lettre, votre nous est un nous de majesté n'englobant que votre personne ou un nous de collectivité englobant tous les enseignants de votre établissement, faute de quoi je ne pourrais pas en tenir compte». Le 29 août, j'envoie à mon ami Jean-Christophe GAUCHARD, président de l'Amicale, une demande de renseignement accompagnée d'un chèque de 13 euros en règlement de ma cotisation pour l'année 2013. Je suis maintenant contraint d'être direct: adhérent de l'Amicale depuis sa création en 1982-83, doyen de ses membres et le seul à avoir connu le collège Louis Liard dans l'enceinte du château de Falaise, je l'accuse de m'avoir subrepticement exclu de l'association en ne me convoquant pas à sa dernière assemblée générale. Si mon accusation est fausse, qu'il m'en apporte la preuve. Je me ferai un plaisir de reconnaître mon erreur dans ma prochaine lettre.
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
samedi 31 août 2013
Lettre n°284 du 31 août 2013
Raymond PIERRE le 31 août 2013 N° 284
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Le Clos Penché, 14570 CLECY.
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Le 9 janvier 2013, Janine CHEVALLIER, mon épouse, écrit à la SCP DOSSIN DUGUEY FIEVET, notaires à Condé-sur Noireau: « Je vous prie de bien vouloir me faire parvenir dans le meilleur délai le relevé au 1er janvier 2013 de mon compte chez vous N° 100053/Consignation ». Dûment enregistrée, sa demande, malgré moult rappels, s'avère vaine. Le 25 mars 2013, elle envoie à Madame Catherine DENIS, procureur de la République près du tribunal de grande instance de Caen, la lettre suivante: « J'ai l'honneur de porter plainte auprès de vous contre la SCP DOSSIN DUGUEY FIEVET notaires à Condé-sur-Noireau, pour le motif suivant : par lettre du 9 janvier 2013, dont ci-joint copie, je lui ai demandé de bien vouloir me fournir, comme tous les ans depuis 1998, le relevé au 1er janvier 2013 de mon compte Consignation en son étude. Elle s'y refuse ». Le 7 juin 2013, Catherine DENIS lui répond: « Par lettre du 25 mars 2013, vous m'avez exposé le litige vous opposant à la SCP DOSSIN DUGUET FIEVET. J'ai l'honneur de vous faire connaître que je viens de saisir Monsieur le Président de la Chambre des Notaires du Calvados de votre réclamation en lui demandant de me faire connaître son avis. Je ne manquerai pas de vous faire connaître ma décision ». Ce premier échange de correspondance est significatif. En lénifiant complètement sa plainte, Catherine DENIS veut couvrir à tout prix la SCP DOSSIN DUGUEY FIEVET et débouter Janine CHEVALLIER. La suite le confirme.
Le 5 juillet 2013, Janine CHEVALLIER écrit à Catherine DENIS : « Le 25 mars 2013, j'ai porté plainte auprès de vous contre la SCP DOSSIN DUGUEY FIEVET notaires à Condé-sur-Noireau, pour refus de me fournir le relevé au 1er janvier 2013 de mon compte Consignation en son étude. Par lettre du 7 juin 2013, vous m'avez informée que vous veniez de saisir Monsieur le Président de la Chambre des Notaires du Calvados de ma réclamation en lui demandant de vous faire connaître son avis. Je vous prie de bien vouloir me communiquer l'avis de Maître GAUDRE» . Le 23 juillet, elle lui répond: « Suite à votre réclamation contre la SCP DOSSIN DUGUET FIEVET, il apparaît que les difficultés tiennent essentiellement au fait que le relevé annuel des compiles constitue pour l'étude une charge de travail non rémunérée et imposée par vous en raison du litige vous opposant au syndic. Le Président de la chambre suggère que vous adressiez à cette étude une enveloppe affranchie par vos soins pour obtenir cette édition des comptes. Quoi qu'il en soit, votre réclamation est classée sans suite, en l'absence de faute imputable au notaire ». Le 7 août, mon épouse écrit à Catherine DENIS: « Me référant à votre lettre du 23 juillet, je vous prie de bien vouloir me communiquer la pièce dans laquelle le Président de la Chambre des Notaires du Calvados suggère que j'adresse à la SCP DOSSIN DUGUEY FIEVET une enveloppe affranchie pour obtenir le relevé de mon compte Consignation au 1er janvier. Il est faux d'invoquer un litige entre le syndic et moi pour expliquer l'affaire. Au contraire, j'ai toujours eu de bons rapports avec lui. La preuve en est qu'il n'a formulé aucune réserve dans le délai de quinze jours imparti par la loi à cette fin. Ce prétendu litige aurait imposé à la SCP une charge de travail non rémunérée. N'est-ce pas plutôt Maître DOSSIN qui m'a imposé sa présence intempestive à la signature de l'acte de vente de mon appartement, étant donné que n'étant pas partie, il n y avait pas été convoqué ? Que chacun en juge: financièrement aux abois, il prend à Caen vers 5 heures du matin le train pour Paris. A 9 heures, je le trouve qui m'attend devant chez le notaire. Surprise, je suis bien obligée de le laisser monter avec moi à l'étude. Il se tient coi. Mais au moment où le notaire me tend le chèque de paiement, il l'intercepte au vol et s'enfuit précipitamment en prétextant l'urgence de reprendre son train. Par une opération du Saint-Esprit,il réussit à encaisser le chèque à mon nom, pas au sien. Je ne ne le revois que deux mois plus tard pour la donation-partage en faveur de mes deux filles, dont je lui avais simplement parlé. Elle laisse un reliquat de 4.654,20 euros qui doit me revenir. Mais dès lors, il est injoignable. A force de démarches, je découvre qu 'il les a versés sur un compte personnel. Je dénonce le délit. Il me restitue 2.854,30 euros, mais garde le solde en créant à cette seule fin le compte Consignation en question. A la lumière de ces faits, je vous prie de bien vouloir reconsidérer votre décision et dire qu 'en refusant de me fournir le relevé de ce compte Consignation au 1er janvier 2013, la SCP DOSSIN DUGUEY FIEVET a commis une faute ».
Le 12 juillet 2013, j'adresse la lettre suivante à Monsieur le commandant de la brigade de gendarmerie de Clécy: « Je porte plainte contre Monsieur Michel BAR, maire de Clécy, pour mise en danger de la vie d'autrui, au motif qu'au début de l'année, il s 'était engagé en réunion du conseil municipal à faire boucher dans le courant du mois les deux nids de poule situés l'un à l'angle de l'allée qui monte chez Claude HERGAULT l'autre à droite de l'entrée du Centre de secours. Pleins de glace, ils étaient dangereux pour tous. Or, il n 'en a jamais rien fait: au début, à cause du mauvais temps, aujourd'hui, parce qu 'ils ne sont plus dangereux que pour moi, quand je roule sur mon scooter Vénus 4. Je suis déjà tombé une fois dedans. Bien que je lui aie rappelé une bonne dizaine de fois son engagement par l'intermédiaire de son secrétariat, il persiste à ne plus vouloir boucher ces deux nids de poule ». Je me tiens pour assuré que la gendarmerie a dûment transmis ma plainte au procureur de la République, Catherine DENIS, et sûr qu'elle la laissera sans réponse et sans suite, comme elle l'a fait de ma plainte pour tentative d'homicide. C'est pourquoi, le 16 août, je fais remettre à Monsieur Michel BAR, maire de Clécy, la lettre suivante: « J'ai à me plaindre de vous. Vous n 'avez pas respecté l'engagement que vous aviez pris en février, devant vos conseillers municipaux, de boucher dans le mois les deux nids de poule situés l'un à l'angle de l'allée qui monte chez Claude HERGAULT, l'autre à droite de l'entrée du Centre de secours. De verglacés et dangereux pour tous. qu'ils étaient alors, ils ne sont plus, aujourd'hui, dangereux que pour moi quand je circule sur mon nouveau scooter Venus 4. Tombé dans celui de chez Claude HERGAULT, je préfère pour l'heure, ne plus m'en servir. En juillet, vous avez fait bitumer des dizaines et des dizaines d'endroits qui en avaient besoin, à la seule exception de mes deux nids de poule. A chacun et notamment à Madame Catherine DENIS, procureur de la République, dans le cadre de la plainte que j'ai déposée contre vous auprès de la gendarmerie de Clécy, de juger votre conduite. Pour ma part, je ne vous dirai qu'une chose, Monsieur le Maire de Clécy: question médisance, mesquinerie, malveillance, malhonnêteté morale, muflerie,.., tu pousses le bouchon un peu loin, Michel! ».
A ce jour, le 31 du mois d'août*, comme disait la fameuse chanson de la frégate d'Angleterre qui fendait l'air et puis les flots pour aller à Bordeaux,, Catherine DENIS n'a pas répondu à la lettre de Janine CHEVALLIER du 7 août. Et, empêtrée comme elle est dans ses couvertures de délits, elle ne lui répondra jamais, je vous en donne ma tête à couper.
* Cf. aoûtats, aoûtiens.
Croyez, Mesdames et Messieurs à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos Penché, 14570 CLECY.
samedi 6 juillet 2013
Lettre n°283 du 6 juillet 2013
Raymond PIERRE Le 6 juillet 2013
N°283
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Je reçois de Florence GOUACHE, chef de cabinet de la ministre de la
justice, datée du 13 juin 2013, la lettre suivante: « Madame Christiane
TAUBIRA, garde des sceaux, ministre de la justice, a bien reçu votre courrier
relatif aux plaintes que vous et votre -épouse auriez déposées. Tout en
comprenant le sens de votre demande, je me dois de vous faire connaître qu'en
raison du principe constitutionnel de l'indépendance de l'autorité judiciaire,
il n'appartient pas au ministre de la justice d'émettre un avis sur le
bien-fondé des droits de l'une ou l'autre des parties dans un litige d'ordre
privé. Les procureurs de la République près les tribunaux de grande instance de
Montpellier et de Caen ayant été saisis par vous des faits que vous dénoncez,
seront en mesure de déterminer les suites qu'il convient de donner aux
agissements que vous décrivez dans votre courrier. Soucieuse de l'aide qui peut
vous être apportée, je vous informe également que vous avez la possibilité de
vous adresser à un conseil par le biais d'un lieu d'accès au droit de votre
département, dont vous trouverez les coordonnées ci-jointes, chargé de vous
apporter une assistance gratuite et un soutien dans vos démarches ». De mon
côté, j'écris à Florence GOUACHE, le 25 juin « J'ai bien reçu votre lettre du
13 juin Elle est de très bon conseil. J'en remercie Madame Christiane TAUBIRA,
son ministère et vous. Je n'ai pas encore trouvé l'avocat dont j'ai
effectivement besoin. Le 18 juin, j'ai demandé aux Éditions GALIMARD de bien
vouloir publier mon livre Qui était l'inconnu de l'avion du général Leclerc ?
Ou la Grande Imposture, (dont DE GAULLE fut victime). Cela apporterait de l'eau
au moulin du gouvernement ». Le 25 juin, je lui écris: «Voyez, je vous prie, la
copie ci-jointe pour rectification du numéro de téléphone du Conseil
départemental d'accès au droit du Calvados. J'ai un avocat, Maître Loic LEGOUX.
Il a un cabinet à Caen et un autre à Thuiy-Harcourt, où -je dois le rencontrer
vendredi 5 juillet à 17H30. Connaissez-vous l'étymologie du patronyme GOUACHE ?».
Nous nous rencontrons comme prévu, Maître LEGOUX, ma femme et moi. Je
lui fais lire l'original de la lettre de Florence GOUACHE et lui en remets une
copie. La première affaire qu'on lui soumet concerne le compte de consignation
au moyen duquel Maître Philippe DOSSIN, notaire a Condé-sur-Noireau, a conserve
depuis 1998 une partie des 4.605, 20 euros qu'il avait alors volés à ma femme.
Je lui remets le dossier En dernière instance, il compte quatre pièces: 1/ la
lettre de ma femme du 9 janvier2013 demandant à la SCP Dossin, Duguey, Fievet,
le relevé de son compte Consignation au 1er janvier 2013 2/ l'accuse de réception de sa demande 3/ sa lettre du 23 mars 2013 portant plainte auprès de Madame
Catherine DENTS, procureur de la République à Caen, contre la SCP Dossin Duguey
Fievet, pour refus de lui fournir ce relevé 4/ la lettre de Mme DENIS du 7 juin
2013 lui faisant connaître qu'elle vient de saisir Monsieur le Président de la
Chambre Départementale des Notaires du Calvados de sa réclamation en lui
demandant de lui faire connaître son avis. La procureure, qui sous SARKOZY a
couvert toutes les malversations de DOSSIN, entend manifestement continuer à les couvrir. Me LEGOUX renvoie l'affaire aux calendes Rentré chez nous, je
comprends à la réflexion qu'il n'est pas l'avocat dont nous avons besoin et
décide de lui retirer l'affaire. La suite à ma prochaine lettre.
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
samedi 8 juin 2013
Lettre n°282 du 8 juin 2013
Raymond PIERRE Le 8 juin 2013
N°282
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
De nombreuses difficultés s'amoncellent devant François HOLLANDE. Il lui
faut de la conviction, de la volonté et du courage. La France traverse une
grave crise. Et surtout jamais un Président de la République n'a connu d'aussi
mauvaises conditions d'exécution de son mandat électoral. Permettez-moi de
m'expliquer sur ce point. Aux États-Unis, quand le pays change de Président en
même temps que de parti au pouvoir, son administration change de fond en
comble. En France, c'est tout le contraire: on garde toujours la même
administration. Fait de bric et de broc,
ce méli-mélo de partisans et d'adversaires du gouvernement est capable de
contrecarrer plus ou moins son action. Si ma plainte pour tentative d'homicide
déposée sous la présidence de Nicolas SARKOZY, le 16 février 2011, auprès du
procureur de la République à Caen, Madame Catherine DENIS, reste sans réponse et
sans suite, c'est parce qu'elle est toujours entre les mêmes mains.
L'affaire est politique. Voici ses données: par obligation
professionnelle de neutralité en tant que consul général de France, j'ai
toujours été apolitique et ni Lions, ni Rotary pendant ma carrière. Je n'ai
jamais pu encaisser Mitterrand. Sa caution morale envers Bousquet, l'exécuteur
en chef des crimes de Vichy contre les juifs, m'est toujours restée et me
restera toujours en travers de la gorge. J'ai été sarkozien le temps de son
ouverture à gauche, jusqu'à ce que je découvre que c'était en réalité un
mille-feuilles, un Frégoli de la politique, qui en a présenté à la France tous
les visages, jusqu'à finir son quinquennat pas loin de l'extrême droite. Pour la
première fois de ma vie, je me suis engagé dans un parti politique en adhérant
à Europe Écologie -Les Verts. J'en suis revenu en appelant à voter HOLLANDE au
second tour de l'élection présidentielle. Si je me bats depuis longtemps pour
la moralisation de la vie publique, c'est avant tout parce que la vérité
historique est inféodée à l'intérêt politique. D'où des impostures, comme celle
dont a été victime le général DE GAULLE et que j'ai dénoncée dans mon livre Qui
était l'inconnu de l'avion du général Leclerc? Je fais mienne pour mon blog la
devise " Vérité et Justice ", qui était celle de Ouest-Eclair,
l'ancêtre de Ouest-France. Sauf pins ample informé, je suis le premier à avoir
demandé l'abolition de la guerre, jugée par l'Assemblée Générale des Nations
Unies comme un crime contre l'humanité. Imaginez tous les bienfaits que
pourrait apporter aux populations du monde entier la suppression des dépenses
militaires, dont l'augmentation irraisonnée est la cause de la crise.
Je vous ai communiqué ma plainte. Vous savez que le docteur DOUARD, qui
voulait me faire opérer d'un cancer de la prostate au début du mois d'août de
l'année 2005 n'était que l'instrument du directeur de la DGSE, Pierre
BROCIIAND, monté à mort contre moi depuis que nous nous étions opposés à Saigon
pendant la guerre du Vietnam. Vous savez aussi que c'est son frère aîné,
Bernard BROCHAND, député-maire de Cannes, qui l'avait fait nommer patron de la
DGSE, que tous les deux sont,- c'est le moins qu'on puisse dire, des tenants de
la droite dure antigaulliste. Vous savez enfm que le 21 mai, j'ai proposé
publiquement une solution raisonnable prompte et définitive de l'affaire,
tenant compte le plus largement possible de ses spécificités. Personne ne m'a
répondu. Je crois qu'une droite factieuse, qui pense avoir le vent en poupe, veut
me contraindre à citer la France de gauche, républicaine, démocratique et non
violente de HOLLANDE devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme.
Croyez,
Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs. Le Clos Penché, 14570
CLECY.
samedi 1 juin 2013
Lettre n°281 du 1er juin 2013
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
ULTIMA VERBA : dernières paroles, l'idée n'a pas eu de succès jusqu'à
présent. J'espère qu'elle en aura à partir de maintenant. Car elle est des plus
audacieuses. Déboulonner les Pompes Funèbres de leur piédestal qui couvre toute
la France n'est pas une mince affaire. C'est néanmoins possible. Alors que les
frais de naissance sont généralement raisonnables, les frais de décès sont
généralement excessifs. Diminuer sensiblement leur coût revient à augmenter le
pouvoir d'achat des particuliers et par ce moyen la productivité ainsi que la
compétitivité des entreprises. Très bien mais toutes proportions gardées, ce
n'est pas la panacée pour Arnaud Montebourg.
L'important est ailleurs : dans l'utilisation des progrès de la science
pour la célébration de la mort. Comment ? Vous entrez dans un mausolée, vous
cherchez un nom sur une liste, il est suivi d'un bouton, vous appuyez dessus:
la photo du défunt apparaît sur un écran tandis que vous entendez ses ultima
verba, ses dernières paroles, non pas les dernières qu'il a dites, mais celles,
empreintes de sobriété, qu'il a enregistrées sur une cassette pour qu'elles
soient gardées en souvenir de lui. Son corps a été transporté de son lieu de
décès au crématoire situé près du mausolée. C'est là qu'il a été incinéré. Ses
cendres ont été, a son choix, remises a sa famille ou déposées dans la grande
urne au centre du mausolée. C'est donner à chacun son mot à dire au chapitre de
l'histoire de son temps . Rien de plus démocratique. C'est aussi et surtout un
immense trésor pour les historiens. Il entre dans le cadre d'une politique de
civilisation.
C'est un principe fondamental : chacun doit pouvoir décider lui-même, en
toute liberté, de son mode de sépulture. II est probable que pendant des
siècles, il y aura toujours des cimetières, mais de moins en moins grands. La
loi devrait d'ores et déjà prévoir que les terrains vacants serviront en
priorité à la construction de logements sociaux.
Croyez, Mesdames et Messieurs à mes sentiments les meilleurs.
mardi 21 mai 2013
Lettre n°280 du 21 mai 2013
Raymond PIERRE Le 21 mai 2013 N°280
Mesdames et
Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Par lettre
recommandée avec avis de réception du 16 février 2011, j'ai porté plainte
auprès de Madame Catherine DENIS, procureur de la République à Caen, contre
Monsieur Jean-François DOUARD, chirurgien-urologue, directeur général de la
clinique Saint-Dominique à Flers (Orne) pour tentative d'homicide médical. Étant
donné qu'il y a eu préméditation, il s'agit, en droit, d'une tentative
d'assassinat. N'ayant été, en réalité, que l'exécutant de son officier traitant
de la DGSE, le docteur DOUARD n'est, par contre, que complice. L'auteur
principal du crime, c'est sans aucun doute le directeur général de la DGSE à
l'époque, Pierre BROCHANT. Son mobile ? Après avoir travaillé avec moi au sein
de la représentation française à Saigon pendant la guerre du Vietnam, il
m'avait succédé, s'était fait mal voir de tout le personnel et m'en avait gardé
une vive rancune. Des témoins le confirmeraient à un juge d'instruction. Mme
DENIS ne m'a pas répondu et n'a jamais donné suite à ma plainte.
De mon côté, je ne
suis pas pour un procès au pénal, qui impliquerait des demandes exorbitantes
d'années de prison. On pourrait désengorger les nôtres en leur substituant,
dans la mesure du possible, des accords d'indemnisation entre victimes et
coupables. Dans une lettre que j'ai publiée, une lettre ouverte, par
conséquent, j'ai proposé qu'une commission sous l'autorité d'un représentant du
ministère de la Justice soit chargée de fixer le montant de l'indemnité
qu'aurait à me verser le docteur DOUARD. Personne, encore une fois, ne m'a
répondu. C'est pourquoi, si au 1er juillet 2013, la justice française a
toujours laisse sans suite la plainte pour tentative d'homicide médical que j'ai
déposée auprès d'elle le 16 février 2011, je me verrai contraint de porter
l'affaire devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme.
La DGSE ne viole
pas seulement les Droits de l'Homme, mais aussi la constitution. Alors que
depuis Mitterrand, la peine de mort est interdite en France, son groupe action
exécute sans jugement, par les moyens les plus divers, huit , neuf personnes
par an. Encore heureux s'il ne se trompe pas de cible, comme c'est arrivé il y
a une dizaine d'années près de Lunel, sauf erreur, à un malheureux
automobiliste mort dans un accident de la route monté de toutes pièces , alors
que la DGSE n'avait pas le moindre grief contre lui. Sa famille a été
indemnisée. Non sans mal, à cause de la difficulté de faire la preuve de la
faute. . Dans mon affaire, les faits sont, au contraire, clairs, nets, dûment
prouvés. Le docteur DOUARD n'a jamais démenti mon accusation d'avoir voulu me
faire opérer d'un cancer de la prostate, alors que huit ans après, je n'ai
toujours rien de plus qu'un adénome bénin de la prostate. Le plus traumatisant
pour moi, c'est qu'en dépit de ces preuves accablantes, beaucoup, dont des
proches, refusent de croire à sa culpabilité. Pour certains, je suis même un
imposteur. Ce sont autant de raisons de plus pour que jamais je n'accepte de
laisser l'affaire rester en son état actuel. Ma plainte exige une suite. Si on
m'offrait une indemnité de 20.000 euros du docteur DOUARD et de 50.000 euros de
Pierre BROCHAND, j'aurais la sagesse de m'en satisfaire, tant mon désir est vif
de ne pas laisser l'affaire prendre de plus amples développements.
Je vous communique
ci-après ma plainte afin que chacun puisse en juger. Croyez, Mesdames et
Messieurs à mes sentiments les meilleurs.
Voici le texte intégral de la plainte que j'ai déposée le 16 février
2011 auprès de Madame Catherine DENIS procureur de la République près du
tribunal de Grande Instance de Caen, contre Monsieur Jean-François DOUARD,
directeur général de la clinique Saint-Dominique à Fiers de l'Orne, pour
tentative d'homicide :
« Le lundi 6 juin 2005, le docteur Daniel MENES, chirurgien à
Saint-Dominique, me reçoit, fixe au mercredi 15 juin 2005 mon opération d'une
hernie inguinale et m'explique clairement en quoi elle consiste. Il me dit qu
'il l'a pratiquée près de mille fois et n'a connu que deux échecs, l'un
explicable, l'autre resté inexpliqué. Ci-joint copie de la pièce N° 1 par
laquelle le docteur MENES et le docteur Christian MONTEMBAULT, anesthésiste,
attestent que l'opération que je dois subir ne comporte aucun risque médical. De
fait, elle se passe tout à fait normalement. Le docteur MENES estime que je
pourrai sortir le samedi 18 juin dans la matinée. Il me revoit brièvement ce
samedi pour me dire que mieux vaut que je reste jusque lundi 20 juin. Mais il a
déjà minutieusement préparé ma sortie. Il me remet des instructions claires et
précises concernant les soins postopératoires que je devrai recevoir d'un
infirmier, matin et soir, pendant quinze jours. Il a envoyé à mon médecin
traitant à Clécy, le docteur SERZEC, une lettre décrivant en détail mon
opération. II me fixe un dernier rendez-vous pour le lundi 11 juillet à 15H15 et
me dit qu 'il me reverra juste avant ma sortie, le lundi 20juin à 9h00.
« Dans la nuit du samedi 18 juin au dimanche 19 juin , je pense tout
d'un coup que cela fait plus de 48 heures que je n'ai pas uriné. Je m'en
inquiète. Un peu après minuit, je sonne la garde de nuit. Un infirmier se
présente. Je lui dis la raison de mon inquiétude et lui demande a être vu dans
la matinée par le médecin de service Visiblement embarrasse, il tergiverse tant
et si bien que la journée du dimanche se passe sans que maigre mes relances, je
parvienne à avoir la visite du médecin de service. Toutefois, l'idée d'avoir
bientôt celle du docteur MENES me rassure, d'autant plus qu'enfin de nuit, j'ai
réussi u uriner un petit peu. A partir de 9h00, le lundi matin, nous
n'attendons plus, ma femme et moi, que la visite du docteur MENES, pour quitter
la clinique. Il a dû opérer, car je l'ai vu passer dans le couloir en tenue de
chirurgien Mais notre attente se prolonge en vain. Ma femme téléphone plusieurs
fois au secrétariat. Finalement, on lui dit que le docteur MENES a un
empêchement, que nous pouvons partir immédiatement Un bulletin de situation au
bas duquel on a ajouté "Signature du patient m 'est remis" (PJ. 2).
« C'est ainsi que contrairement à la règle qui veut qu'un patient ne
puisse pas sortir d'un établissement hospitalier sans être muni d'un bulletin
de sortie signe par un médecin, je suis contraint de sortir de la clinique
Saint-Dominique muni d'un simple bulletin de situation signé par moi seul et
sans avoir pu être vu par un médecin au sujet de ma rétention d'urine, bien
qu'ayant réclamé cet examen durant deux jours Aujourd'hui, je soupçonne le
docteur DOUARD de m'avoir fait administrer un produit pour provoquer cette
rétention d'urine. Je n'en ai pas la preuve, mais un médecin-urologue pourrait
dire s'il est normal ou, au contraire, anormal qu'une opération d'une hernie
inguinale entraîne une rétention d'urine.
« Néanmoins, nous rentrons chez nous, ma femme et moi, convaincus que
si la clinique Saint-Dominique m'a fait sortir, c'est que je vais aussi bien
que possible. Le docteur SERZEC et l'infirmier en sont tout aussi convaincus.
Cependant, au bout de quelque temps, l'infirmier, qui me fait deux piqures par
jour, remarque que j'ai le bas-ventre gonflé et une jambe très enflée. Il parle
d'oedème. Le mercredi 6 juillet, ma situation étant devenue intenable, je
demande à ma femme d'appeler d'urgence le docteur SERZEC. Il se rend compte de
la gravite de mon état et méfait immédiatement transporter en ambulance a
Saint-Dominique Je suis examine parle docteur BertrandAFOlL Il me met tout de
suite une sonde C'est ainsi que je découvre que du 20 juin au 6 juillet; soit
pendant quinze jours, ma vessie a continue" sans que personne s'en
aperçoive, à se remplir jusqu'à un peu plus de cinq litres d'urine, avec
diverticules et dilatation des reins. L'urée passée dans mon sang atteint,
d'autre part, un taux anormalement élevé. Enfin, j'apprends que le docteur MENES
cessera ses fonctions le 9 juillet, soit quinze jours avant la date du dernier
rendez-vous qu'il m'avait fixé. Il ne fallait pas que je le revoie.
« Ce 9 juillet , vers 10 H, le docteur DOUARD entre, pour la première
fois, dans ma chambre, accompagné d'un assistant. Il me fait allonger sur le
lit, mettre mes poings sous mes fesses, procède à un toucher rectal et
m'annonce qu'il faut m'opérer de la prostate. Ce qu'aucun autre médecin
n'aurait accepté de faire. Ma femme est présente. L 'ambiance est tendue. Quand
il quitte ma chambre, je lui lance à deux reprises : « Docteur, je suis
désespéré ! ». Je sors de la clinique vers midi. Rendez-vous m'a été fixé avec
un anesthésiste non identifié, pour le lundi 1er août à 16h15 et avec un
chirurgien-urologue, le docteur Hussein TAHAN, pour le mardi 2 août à 12H00. Je
dois être opéré lejeudi 4 août Le 20 juillet, je reçois de l'anesthésiste un
message reportant le rendez-vous au mercredi 3 août a 10H00, puis, le lendemain,
une lettre du " Secrétariat d'Anesthesie" l'avançant au mercredi
27 juillet 9h00. Toutes ce tergiversations s'expliquent par la résistance sinon
par le refus des anesthésistes d'engager leur responsabilité dans mon
opération. La veille, soutenu par notre fille Corinne, j 'ai décidé de ne pas.
retourner a la clinique Saint-Dominique Je demande au docteur SERZEC de me
prendre rendez-vous avec un urologue du CHU de Caen. IL est fixé au 1er août a
14h45 avec le docteur Stéphane MALLICK Il me soumet a des tests scientifiques,
diagnostique uniquement un adénome bénin de la prostate, me prescrit un
traitement médicamenteux et me fixe un nouveau rendez-vous au 21 septembre 2005
Ce n 'est que le 14 novembre 2005 qu'il m'enlève la sonde posée le 6 juillet
2005, je l'ai portée pendant quatre mois et une semaine Quatre ans après, le 8
septembre 2009, son successeur, le docteur Loetitia ROUACHE, écrit a mon
médecin traitant, le docteur Philippe JARDIN, que je vais aussi bien que
possible et que mon suivi urologique n 'est plus à poursuivre.
« Le compte rendu par le docteur DOUARD de mon hospitalisation du 6 au
8 juillet 2005 prouve le bien-fonde de ma plainte (P.J. 5) Il écrit « Patient de
85 ans, opéré récemment dune hernie inguinale par le docteur MENES,.
Apparemment, il ne semble pas avoir de troubles mictionnels, d'après lui.
Depuis la cure de la hernie, mictions par regorgement. A l'examen clinique, on
note un adénome prostatique de fort volume, cliniquement relativement homogène.
PSA a 7, 4 Cependant, Bertrand APOIL devant cette rétention, a évacue un globe
de 4,5 litres A l'échographie, on note une hydronéphrose bilatérale, une vessie
diverticulaire, une prostate estimée a 95 gr. Oz a donc beaucoup de mai que ses
troubles datent de quinze jours seulement. Toujours est-il qi de devant cette
vessie forcée, l'urgence est a drainer les urines par sonde vestale. Il sort donc
avec cette sonde. II sera revu dans trois semaines par Hussein TAHAN, avec une
échographie rénale de contrôle et l'avis du collègue anesthésiste. Ii pourra
alors décider de la date d'une résection transversale de prostate en espérant
que le patient n'a pas une vessie forcée.
« Ce compte rendu d'hospitalisation constitue un faux médical
incontestable. Le docteur DOUARD ne m'a vu ni le 6, ni le 7, ni le 8 juillet,
mais seulement le 9 juillet, quand il est venu dans ma chambre procéder à un
toucher rectal, dont il s'est abstenu de rendre compte. Il avait uniquement
pour but de m'annoncer qu'il allait falloir m'opérer de la prostate. Ce
qu'aucun autre médecin n'aurait accepté de dire. Il n'existe, par contre aucun
compte rendu par le docteur APOIL de son intervention du 6 juillet 2005,
pourtant capitale à tous égar . Le docteur DOUARD s'est substitué à lui pour
proférer des contrevérités médicales complètement démenties par le CHU à propos
de mon oedème bénin de la prostate. Il visait à motiver mon opération de la
prostate par le docteur Hussein TAHAN au début d'août 2005, d'urgence, en
pleine chaleur, après que j'aie été extrêmement affaibli par une rétention
d'urine. La preuve est faite que rien ne justifiait cette opération qui devait
me coûter la vie. FIN.
vendredi 10 mai 2013
Lettre n°279 du 10 mai 2013
Raymond PIERRE le 10 mai 2013 N°
279
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Plus tardivement et partant plus illégalement que jamais, la commune a
publié récemment le compte-rendu de la réunion de son conseil municipal du 9
avril 2013. Sous le titre Convention pour la délégation de service public, Via
Ferrata:, il dit: « Monsieur le Maire informe le Conseil Municipal que suite à
l'appel d'offre concernant la délégation de service public simplifiée pour la
gestion de la Via Ferrata, il a reçu une seule offre: la société VERTIG . La
société prendra à sa charge l'entretien de l'équipement et versera une
redevance annuelle à la commune constituée d'une part fixe et d'une part
variable. Une convention est faite pour un contrat inférieur à trois ans (du
1er 05. 2013 au 15. 02. 2016). La SARL VERTIG a demandé à Monsieur le Maire
d'apporter un avenant à la convention, pour un équipement complémentaire, à
savoir une tyrolienne sur corde avec un ancrage dans les rochers. Cette
installation sera réalisée sous la responsabilité et aux frais de VERTIG.
Après en avoir délibéré, le Conseil Municipal à l'unanimité accepte l'avenant
et autorise le Maire à signer la convention avec la SARL VERTIG ».
Trêve de fiction littéraire ! Cette fois, Mesdames et Messieurs les
conseillers municipaux de Clécy c'est bien à vous, à vous en chair et en os, a
vous individuellement que je m'adresse Sachez donc que la création de cette Via
Ferrata marque l'aboutissement des manigances de Michel Bar et de Michel
Vallée, l'un maire, l'autre premier adjoint, pour sauver Claude Hergault de la
condamnation pénale qu'il encourt pour avoir comme maire de Clécy mis en danger
la vie d'autrui en ne faisant pas, pendant plus de 18 mois, exécuter les
travaux de sécurisation des Rochers de la Cambronnerie prescrits par les Ponts
et Chaussées et votes par son conseil municipal Ayant, de plus, utilisé pour la
reconstruction de la base Lionel Terray les crédits affectés à ces travaux, il
s'avère qu'en droit il est le seul et unique responsable de la chue des deux
gros rochers qui en s’écroulant sur le restaurant de Alain Hamel, le 8 décembre
2009, l'ont grièvement blesse, ont cause tous ses malheurs ainsi que ceux de sa
famille et leur valent d'être, encore aujourd'hui, victimes d'une monstrueuse
injustice.
Tout nouveau, tout beau. Viva la Via Ferrata ! C'est pour son avenir que
j'ai des inquiétudes. La Préfecture ne devrait-elle pas avoir son mot à dire
concernant sa sécurisation ? Se détachant par blocs, la paroi n'aurait-elle
pas été plus propice à être enserrée dans les mailles de filets que exposée aux
intempéries tout au long d'une voie transversale ? Anonyme, son gestionnaire
ne devrait-il pas être, au contraire connu de tous par son nom, sa formation,
ses antécédents, ses références, ses garanties financières ? La commune
garantit-elle aux usagers de la Via Ferrata qu'en cas d'accident, si VERTIG
venait à faire faillite, ils n'en seraient pas moins dûment indemnisés ? On s'y
perd: comment se fait-il que la commune de Clécy apparaisse comme le seul
répondant de la Via Ferrata? Le Conseil Général n'est-il pas le propriétaire du
site ? La situation appelle des explications claires et précises des autorités
compétentes. Je souhaiterais que les Ponts et Chaussés soient consultés.
Croyez, Mesdames et Messieurs à mes sentiments les meilleurs.
samedi 4 mai 2013
Lettre n°278 du 4 mai 2013
Raymond PIERRE le 4 mai 2013
N°278
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
France Télévisions, dans une lettre datée du jeudi 17 janvier 2013,
m'écrivait sous la signature de Monsieur Franck Vautier, directeur délégué
chargé de la communication relationnelle: « Vous avez adressé un courrier aux
conseillers municipaux de Clécy. Vous souhaitez que la rédaction de
l'information de France 2 en prenne connaissance. En outre, vous exprimez une
opinion personnelle. Je vous remercie de l'intérêt que vous témoignez à France
2. J'ai transmis vos remarques à la Rédaction de l'information, afin qu'elle en
prenne connaissance. Vos suggestions et observations sont utiles pour permettre
à la chaîne de vous proposer des émissions répondant à vos attentes (souligné
par moi). Au nom des animateurs et de l'ensemble des équipes du groupe France
Télévisions, je vous présente mes meilleurs vœux et je vous souhaite de très
agréables moments en compagnie des programmes de France 2. Bien cordialement.
».
Le 3 avril 2013, j'écris à France Télévisions : « Je m'autorise de
l'aimable lettre datée du 17 janvier 2013 que j'ai reçue de Monsieur Franck
Vautier pour vous soumettre la question suivante: comme consul général de
France, j'ai toujours consacré mes allocutions du 14 juillet à un sujet précis.
L'accès du pape François au siège épiscopal ma rappelé celle que j'avais
prononcée a Port-Gentil concernant un important groupe de Français émigrés en
Argentine dans la province de Formosa, la plus éloignée de Buenos-Aires Je ne
la retrouve pas Pour autant que je m'en souvienne il s'agissait de familles
d'agriculteurs, peut-être aussi de viticulteurs, chasses d'Algérie Leurs noms
français devraient permettre de savoir ce qu'ils sont devenus. Fourriez-vous
vous intéresser à la question et me faire part du résultat de vos recherches?
Je vous en remercie par avance. ».
Contre toute attente, France Télévisions ne m'a pas répondu. Pourquoi,
alors que peu avant film'avait lui-même propose une émission de ce genre? Je
suppose que c'est parce qu'il s'est vu empêche de réaliser cette émission et
que, dans ces conditions, il a juge bon de garder le silence. Peut-être ne
fallait-il pas, en effet, qu'il puisse être dit que c’était a cause des morts
d'hommes, de femmes et d'enfants faits dans leurs familles par les forces
françaises de l'ordre en Algérie que répudiant leur nationalité française, ces
pieds noirs avaient décidé de se grouper et de s'en aller cultiver la terre au
fin fond de l'Argentine. Ce serait à tort, car la vérité est au regard de
l'histoire avec un grand H, une exigence fondamentale. Les Français, dont moi
qui me suis de longue date préoccupé de leur sort, ont le droit de savoir ce
que sont devenus, eux et leurs descendants, ces pieds noirs qui se sont exilés
d'Algérie pour aller vivre dans une lointaine province, frontalière et partant
plus sensible, du pays où est né et a vécu le pape François. La France, par
contre, n'a aucunement le droit de demander compte à d'autres pays de leur
respect des Droits de l'Homme, elle qui ne les a pas toujours respectés, comme
le prouvent les guerres de colonisation menées sous sa Troisième République. Il
faut en finir définitivement avec le mythe de la France, pays des Droits de
l'Homme, afin de lui gagner les appuis mondiaux dont elle a besoin pour assurer
son redressement.
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos
Penché, 14570 CLECY. Tél.: 02 31 69 25 78.
mercredi 24 avril 2013
Lettre n°277 du 24 avril 2013
Raymond PIERRE le 24 avril 2013
N° 277
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
S'il est une banque chez qui la nécessité d'une moralisation de la vie
publique se fait tout particulièrement sentir pour ses clients aussi bien que
pour son personnel, c'est le Crédit du Nord. Je vous en apporte la preuve : le
26 septembre 2011, j'écris à Monsieur Aubin ALLÉE, directeur de son agence de
Condé-sur-Noireau: « Votre prédécesseur comme directeur d'agence, Monsieur Jean
MONRAISIN, a fait virer, la totalité du montant de ma pension de retraite pour
le mois de juin 2009, soit 2959,63 euros, de mon compte chez vous au compte de
Maître Pascal HERSENT, huissier de justice u Falaise Virement illégal pour deux
raisons 1/ pas de pièce justificative 21 une banque n'a pas le droit de
prélever la totalité du montant d'une pension de retraite sur le compte d'un
client. Le Crédit du Nord a sanctionné M MONRAISIN, mais n'a pas annulé sa
faute à mon encontre C'est pourquoi je vous demande de faire reverser ces
2959,63 euros sur mon compte courant Faute de quoi, je vous prie de bien
vouloir: lime communiquer la pièce justificative manquante 21 me dire, par
écrit, quelles sont les raisons qui vous empêchent défaire droit à ma requête »
M ALLEE ne me répond pas A cinq reprises, je lui rappelle ma lettre par écrit.
Il ne m'a toujours pas répondu.
Récemment, je lui demande un rendez-vous au sujet de cette question. La
secrétaire me le fixe au lendemain vendredi 10h00. J'arrive comme prévu. Il me
fait dire que ce rendez-vous ne figurant pas sur son agenda, il ne peut pas me
recevoir. Je proteste contre ce couac devant les autres clients. Du coup, il me
reçoit. Je lui rappelle l'affaire: le 30 mai 2009, la caissière de l'agence me
demande de repasser le lendemain pour percevoir ma pension du mois de juin
Quand je reviens le 31 mai, elle m'annonce que les 2959,63 euros de ma pension
de retraite ont été verses au compte de Me Pascal HERSENT. M. MONRAISIN a été
sanctionné pour sa faute, mais elle n'a pas été réparée envers moi M ALLÉE
s'emploie alors a me démontrer que le Crédit du Nord n'a commis aucune faute.
Je lui objecte que je possède une pièce du Centre Régional des Pensions qui
prouve que ma pension était de 2.959,63 euros. Il me tient pendant plus d'une
heure dans son bureau. Je suis obligé de lui dire qu'on m'attend. Il me promet
de me faire connaître le mardi suivant, par téléphone, la décision de sa
hiérarchie. Manque de parole, il n'en a toujours rien fait. D'où cette lettre.
La gestion de mon affaire par le Crédit du Nord est tout à la fois
illégale, injuste, malhonnête, honteuse, incohérente, abracadabrante et
incompréhensible C'est pourquoi il n'a jamais voulu s'en expliquer par écrit,
mais uniquement verbalement. En faisant de M. ALLÉE, jusqu'alors complètement
étranger à l'affaire, son avocat contre moi, en le contraignent à prôner une
mesure qu'au fond de lui-même, il n'approuve peut être pas, le Crédit du Nord
abuse manifestement du pouvoir d'une entreprise sur ses salariés. On a vu à
quoi cela pouvait pousser certains. Je me bats depuis près de trente ans pour
cette moralisation de la vie publique. C'est un de ces nombreux domaines dans
lesquels la Banque laisse à désirer. Mon cas se situe justement dans son cadre.
S'il ne règle pas l'affaire aujourd'hui, le Crédit du Nord devra en répondre
demain devant la justice et autrement que par des faux-fuyants. Il ne se
débarrassera pas facilement de moi. Je serai toujours son client, sa peste, son
chiendent. Ce n'est pas en ne répondant pas à ma juste réclamation qu'il
résoudra la question. Je la lui rappellerai aussi longtemps que je vivrai.
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos
Penché, 14570 CLÉCY. Tél.: 02 31 69 25 78.
mercredi 10 avril 2013
Lettre n°276 du 10 avril 2013
Raymond PIERRE Le 10 avril 2013
N° 276
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Un rai de lumière venant d'en haut comme dans un tableau de Vermeer va
éclairer ma tâche. J'ai chargé un informaticien de rendre publics sur Internet
ma vie et mes écrits. Ce blog s'intitulera" Un homme, des idées ". Il
inclura mes lettres à Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy
à compter du 1er janvier 2013. (Elles ne s'adressent pas à eux personnellement.
C'est un procédé littéraire à la P-L. Courier.) Il intégrera le reliquat du
projet insensé que j'avais formé sous le titre Livre Un de la Révolution
Religieuse quand j'étais consul à Pointe Noire, au Congo Brazzaville. A cette
époque, j'écris de quatre à six heures du matin avant de monter faire ma
toilette. Descendu de son arbre à coucher, Youpi, mon corbeau noir à plastron
blanc, vient toquer à ma porte. Je lui ouvre, il entre et saute sur le bord du
lavabo. Il m'embête bien. un peu en cherchant toujours à racler ma mousse avec
son bec. N'empêche, quand j'ai fini, je lui remplis la moitié du lavabo d'eau
tiède. Il s'accroupit dedans quatre ou cinq fois, avec plaisir, j'ai
l'impression. Je lui rouvre la porte. Il sort, se sèche en s'ébrouant sur la
rambarde du balcon et va m'attendre au garage. Quand je pars pour le bureau, il
suit la voiture à tire d'ailes jusqu'à mi-parcours, puis rentre à la maison se
percher dans les sapins avec ses congénères. Vous verrez ses photos.
Voici un aperçu des idées que j'exprimais dans cet infernal bouquin: «
Les religions ne sont que des représentations différentes de l'idée de Dieu La
façon dont l'idée de Dieu a pris corps dans la pensée humaine, l'image que
l'homme s'est faite de la grandeur et de la toute-puissance de la divinité, la
forme sous laquelle il l'a conçue dieu humanisé ou homme divinisé cela n'a, en vérité, que peu d'importance puisque Dieu, dans son essence, nous est inconnu. On peut
même dire que Dieu nous est inconnu par essence. Sous le rapport de la
connaissance de Dieu, aucune religion ne peut par conséquent se prétendre plus
vraie qu'une autre » .... « Dieu lui-même existe t-il ? Éternelle question a laquelle il n 'est que
trois réponses possibles oui, non ou je ne sais pas La croyance en Dieu relève
uniquement de la foi .... Si, par contre il vous est demande l'idée de Dieu existe-t'elle ? A cette question, il n'est plus qu 'une seule réponse possible oui, l'idée de Dieu existe, elle
est de tous les temps, elle est de tous les lieux, elle est le plus grand
dénominateur commun et la plus grande constante de l’humanité. Elle est
immortelle. L'idée de Dieu habite l'homme comme sa demeure naturelle. C'est a cette idée de Dieu, source vive d'une immense énergie humaine,
qu 'il faut rendre sa force originelle sur la base d'une nouvelle Foi, d'une
nouvelle Morale et d'une nouvelle Action ».
Il faudrait des pages et des pages pour continuer sur ce sujet. Si vous
désirez connaître sa suite, je vous donne rendez-vous sur le blog. Je fournirai
son contenu. Pour le reste, je m'en remets à son présentateur, car ma tâche,
c'est toujours de faire à l'intention des historiens du futur une analyse et
une synthèse de l'actualité, de leur donner du grain à moudre, autrement dit.
Il me faut pour cela rester inconnu des médias. Ce n'est pas avant une
cinquantaine d'années que l'on commencera à savoir la vérité concernant la
présente crise internationale.
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos Penché, 14570 CLECY.
Promesse non tenue, ma prochaine lettre sera consacrée à un contentieux
avec Crédit du Nord
jeudi 4 avril 2013
Lettre n°275 du 4 avril 2013
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Permettez-moi de m'offrir en ce début de printemps une promenade dans
les environs d'Athis de l'Orne depuis 1968) à cheval sur mon dada, Étymologie* avec en selle le dictionnaire des noms de famille de Marie-Thérèse Monet et
le dictionnaire des noms de communes de Normandie de René Lepelley. D'après
lui, Athis, c'est « la cabane », du bas latin d'origine gauloise attegia,
cabane.. Quand j'étais gosse, nous avions du côté de mon père des parents dans
le coin, les Mahérault forme populaire dérivée de Mathieu. Ils habitaient à La
Carneille. Pour eux, c'était tout bonnement une déformation de La Corneille,
alors que pour Lepelley, c'est « l'endroit où poussent des charmes », du latin
carpintis, ancienne forme dialectale carme (arbre) suivi du suffixe latin de
présence, ella. Non loin de là, il y a Les Tourailles. Pour les Mahérault,
c'était dans des fours en forme de tour que l'on cuisait la chaux destinée à
amender les champs. Pour Lepelley, ce nom vient du bas latin brailles « levée
de terre pour séparer les champs ». Jugez vous-mêmes des progrès accomplis
depuis mon enfance. *L'étymologie, c'est la science de l'origine des mots.
Voici la lettre que j'ai adressée au procureur de la République auprès
du tribunal de grande instance de Montpellier, le 25 mars 2013: « Je porte
plainte auprès de vous contre Madame Sylvie CROSSMAN, Indigène éditions, siège 1, impasse Jules Guesde a Montpellier en raison des faits suivants Le 26 avril
2011, je lui envoie la lettre dont ci-joint copie dans laquelle je lui annonce
l'envoi par courrier sépare" du manuscrit de mon « Qui était l'inconnu, de
l'avion du général Leclerc Ou la Grande Imposture » J'effectue cet envoi le
même jour par Collissimo emballage Le bordereau dont ci-joint copie prouve que
La Poste l'a délivré le 28 avril 2011 à Sylvie CROSSMAN qui s'est toujours
refusée à me le rendre, prétextant ne pas l'avoir reçu. Ce document a d'autant
plus de valeur qu'imprimé a Marrakech sous couverture cartonnée noire par notre
fille Fabienne, il est irremplaçable ». De son côte, mon épouse, Janine
CIIEVALLIER, dépose le même jour une plainte auprès du procureur de la
République a Caen contre la SCP DOSSIN, DUGUET, FIEVET, notaires associes, 3
rue Saint-Martin a Condé-sur-Noireau, pour refus de lui fournir, comme tous les
ans depuis 1998, le relevé au 1er janvier 2013 de son compte Consignation.
Je reste sans réponse des pouvoirs publics à ma- proposition de
résolution, par accord entre les parties, du problème juridique que pose pour
le gouvernement le fait de laisser sans suite ma plainte pour tentative
d'homicide médical La préméditation étant évidente, j'aurais pu parler de
tentative d'assassinat médical. Je me suis toujours tenu en-dessous de la
vérité. Je vous prie de trouver au verso l'article consacré par le Canard
Enchaîné à ceux que j'ai appelés les deux grosses pointures (pas de même taille
en réalité) de la droite dure en bordure de la Côte d'Azur. En 1969, j'ai
cohabité durant trois mois au sein de la représentation française à Saïgon avec
Pierre BROCHAND, qui m'a succédé à mon poste et m'a toujours gardé rancune
d'avoir été mieux vu que lui par l'ensemble du personnel. J'aurais beaucoup à
dire à son sujet avant, pendant et après notre rencontre. Avec la meilleure
volonté du monde, je ne puis accepter de laisser les choses en leur état actuel
Ce serait renier ma carrière J'espère ne pas être obligé de saisir la Cour
Européenne des Droits de l'Homme de l'affaire.
Veuillez croire, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos Penché, 14570 CLÉCY. Cherche toujours une secrétaire. Tél.: 02 31 69 25
78.
vendredi 22 mars 2013
Lettre n°274 du 22 mars 2013
Raymond PIERRE le 22 mars 2013
N° 274
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Quand on pose un problème juridique comme celui que j'ai soulevé en
dénonçant publiquement la tentative d'homicide médical dont j'ai fait l'objet,
il a toujours été de bon ton de l'assortir d'une proposition de solution. Au
plan pénal, une tentative d'homicide de cette nature appellerait des sanctions
disproportionnées au regard des circonstances dans lesquelles elle a été
commise. C'est pourquoi j'ai tout de suite pensé que la solution de l'affaire
était dans une indemnisation étant donné
que de mon côté je ne pouvais pas non plus accepter de la laisser en l'état. De
là, les tractations que sur son accord, j'ai menées à ce sujet pendant quatre
mois, du 21 octobre 2010 au 16 février 2011, avec l'assureur professionnel du
directeur de la clinique Le Sou Médical, 10 cours du Triangle de l'Arche, LA
DEFENSE, PARIS. Elles n'ont pas abouti. Dans sa dernière lettre du 8 février
2011, Le Sou Médical m'écrivait: « Je vous rappelle que pour engager la
responsabilité du professionnel de santé, vous devez prouver une faute, un
dommage et un lien de causalité entre cette faute et le dommage. Or, vous ne
rapportez toujours pas la preuve d'une faute de notre sociétaire. En effet,
vous lui reprochez d'avoir voulu vous opérer, mais vous n 'apportez pas la
preuve que cette intervention n'était effectivement pas nécessaire ». C'était
nier à la fois la vérité et l'évidence, car mon dossier était on ne peut plus
probant. Il ne me restait plus dans ces conditions qu'à tirer l'échelle. C'est
alors que j'ai déposé, par lettre recommandée du 16 février 2011, près du
procureur de la République à Caen, ma plainte pour tentative d'homicide
médical, restée sans suite à ce jour.
Aujourd'hui, là situation se présente sous un autre jour en matière d'indemnisation, du fait que c'est le directeur de la DGSE à
l'époque, qui est le principal mis en cause. Si les pouvoirs publics voulaient
bien adopter cette solution, il conviendrait de mettre en place une commission
bipartie chargée de l'appliquer.
Je vous ai donné dans ma dernière lettre la première raison pour
laquelle je suis largement revenu de mon admiration pour Stéphane Hessel. La
deuxième, c'est qu'il est né en 1917 à Berlin dans une famille juive originaire
de Pologne, pas très stable religieusement, très brillante intellectuellement
et très en vogue socialement, mais nulle militairement, aucun de ses membres ne
s'étant battu pour l'Allemagne pendant la première guerre mondiale. Si cela est
vrai, si d'autres familles juives allemandes ont bénéficié du même privilège
sous Guillaume II, leur situation n'aurait-elle pas pu entrer parmi les causes
de l'hostilité des nazis envers les juifs ? C'est la question qui se pose. Aux
historiens d'y répondre. En attendant, il conviendrait de se montrer plus
circonspect que moi dans l'appréciation des services rendus par Stéphane Hessel
à la France. Personnellement, je déplore surtout qu'il n'ait jamais voulu
répondre à la question que je lui ai maintes fois posée, à savoir ce qu'il
pensait, lui qui a toujours été réputé fin connaisseur des Nations Unies, de ma
proposition d'abolition par leur Assemblée Générale de la guerre déclarée crime
contre l'humanité. Question d'autant plus pertinente qu'il a signé avec Albert
JACQUART un livre intitulé EXIGEZ un désarmement nucléaire total.
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos
Penché, 14570 CLECY.
mardi 12 mars 2013
Lettre n°273 du 12 mars 2013
Raymond PIERRE le 12 mars 2013
N° 273
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Trois faits prouvent que le ministère de la Justice est contre moi :
1/
Bien que par lettres du 21 novembre 2012 et des 8 janvier et 13 février 2013,
cinq ministères, dont ceux de l'Economie et des Finances et du Redressement
Productif, l'aient instamment prié de bien vouloir me répondre au sujet des
questions que je lui avais posées, le ministère de la Justice n'en a rien fait.
Résultat: les intéressés ne savent toujours pas s'il est légal ou non que le
mur d'enceinte de la mairie de Clécy ait été en partie démoli pour donner aux
deux propriétés contiguës un accès direct au domaine communal, et cela sans
qu'aucun acte notarié ait été signé.
2/ Il n'a pas voulu me dire pour quelle
raison le procureur de la République à Caen n'a donné aucune suite à ma plainte
auprès de lui pour tentative d'homicide médical. Une enquête judiciaire aurait
permis d'établir que le directeur de la clinique n'avait été que l'exécutant de
la volonté du directeur de la DGSE de m'éliminer. Aussi longtemps que la
justice n'aura pas dévoilé son nom et que je serai en passe de le donner
moi-même, je resterai sous le coup de mesures de rétorsion.
3/ Il s'est
également refusé à prendre en considération mon affirmation selon laquelle
c'est de connivence avec l'avocat de la commune de Clécy que celui d'Alain
HAMEL a intenté contre elle un procès au civil condamné d'avance à finir dans
les limbes. Ajoutez à cela que le ministère de la Justice n'a pas répondu non
plus à mon appel visant à savoir si d'autres pays européens considèrent la
connivence comme de droit. En conclusion, le respect de la loi exige du
ministère de la Justice qu'il donne à ma plainte pour tentative d'homicide médical
la suite qui s'impose et dévoile dans le cadre de son instruction le nom du
directeur de la DGSE qui voulait me faire passer de vie à trépas le 2 août 2005
à Fiers. Je peux déjà vous dire qu'il s'agit d'un antigaulliste de droite et
que son agressivité envers moi est liée à mes services dans la guerre du
Vietnam. La justice doit être la même pour tous.
Sous le titre KIKADI, j'ai publié à compte d'auteur dans les années 2000
une série de lettres consacrées aux paroles et écrits du futur Benoît XVI, dont
sa leçon aux étudiants de la Sorbonne après mai 68. Sa démission m'apparaît
comme une conséquence logique de l'allongement de la durée de la vie humaine,
qui l'a poussé à se retirer afin d'assurer jusqu'à sa mort la dignité de son
pontificat. Son exemple a de grandes chances d'être suivi par ses successeurs et de faire date dans les annales de l'Eglise.
Je suis largement revenu de mon admiration pour Stéphane Hessel. Pour
plusieurs raisons. Je ne vous en donne qu'une aujourd'hui. Je suis, en effet,
persuadé que c'est à lui que Sylvie CROSSMAN, son éditrice à Montpellier, a
donné le manuscrit imprimé sous couverture cartonnée noire de mon livre: Qui
était l'inconnu de l'avion du général Leclerc ? Ou la grande imposture. Pourquoi
? Tout simplement parce que je ne vois pas quel autre motif elle pourrait avoir
de mentir en prétendant ne l'avoir jamais reçu. Je n'aurai de cesse qu'il me
soit rendu.
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos Penché, 14570, CLECY
samedi 2 mars 2013
Lettre n°272 du 2 mars 2013
Raymond PIERRE Le 2 mars 2013 N°
272
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
J'ai reçu de Sylvain Morand, 3 rue de Benfeld, 67150 Erstein, (Haut
Rhin), une lettre datée du 15 février qui m'a fait un très grand plaisir. Il
m'écrit: « Bonjour, C'est avec beaucoup de précautions que je me permets de
vous écrire. Fils (-second) de Guy Morand et de Suzanne « Suzette » James, * je
suis maintenant à la retraite après une carrière de conservateur de musée. Mais
qu 'importe. Ayant récupéré les quelques archives familiales, mes « loisirs »
me permettent de ranger, classer, archiver , etc ...Mais aussi de faire
resurgir des souvenirs longtemps enfouis Une image m'est apparue, celle où
avenue d'Hastings à Falaise, vous aviez rendu visite à mes parents entre vos
déplacements diplomatiques et vous nous aviez fait dans les années 1950 (?)
quelques tours de magie qui nous avaient émerveillés. C'est, bien sûr, un
souvenir d'enfant avec tout le grossissement du merveilleux enfantin, mais en
me replongeant dans ces archives photographiques, que vous possédez peut-être
et qui ont fait remonter cette anecdote. Ce ne sont que des images, mais elles
évoquent, au-delà de l'anecdote, un lien qui existe toujours en dépit de ces
longues années et votre amitié avec mes parents ne s'est pas perdue avec leur
disparition prématurée puisque j'en ai encore le souvenir et la trace. La vie
est sans doute le tamis de l'histoire mais, quelquefois, un lien ténu évite
l'oubli. Avec mon meilleur souvenir respectueux ».
* Jams, c'est Jacques en béarnais. Il doit y avoir du Henri IV
là-dessous.
J'ai connu Guy Moran en 1932 à Falaise, au collège Louis Liard, situe
dans l'enceinte du château de Guillaume le Conquerant. Nous sommes alors les
deux meilleurs de la classe de sixieme Sa supériorité sur moi en maths dépasse
largement ma supériorité sur lui dans presque toutes les autres matieres Il est
externe, moi interne Nous devenons vite amis Mes parents ne pouvant pas
m'envoyer chercher tous les samedis pour passer le weekend a Clecy, sa mere
m'invite un jour a venir chez elle avec lui Elle habite seule dans le val
d'Ante, au pied du château, un peu au-dessus de la fontaine ou le duc de
Normandie avait rencontre Arlette, la mère de Guillaume Blanchisseuse, c'est la
qu'elle lave le linge Sa maison est faite de quelques pièces aux cloisons
minces, enduites de chaux nue Elle irradie un tel amour filial qu'il
m'enveloppe, m'envahit, m'enchante Ce qui surtout nous unit, Guy et moi, c'est
notre même engagement politique Le temps passe: cinquième, quatrième, troisième
... Les croix de feu du colonel comte de La Rocque sont à leur apogée. Un
dimanche, des commerçants nous emmènent tous les deux à une de leurs réunions,
à Flers, route d'Argentan, dans une distillerie. Le battage s'est fait autour
de la présence du grand chef mais, comme souvent, il n'est pas là. En revanche,
sur l'estrade, il y a un grand orateur, Ybarnegaray. Après le rituel baiser du
drapeau, il entame son discours et soudain s'écrie: « Nous ne voulons ni
fascisme, ni communisme ». La salle reprend en choeur: « A bas le communisme! A
bas le communisme !». Le silence se fait. Guy et moi lançons à pleins
poumons:«A bas le fascisme! A bas le fascisme!». C'est ce qu'il ne fallait pas
dire. Nous sommes saisis, portés en l'air de bras en bras et sortis à coup de
pieds dans le cul. Qui m'ont ouvert les yeux. En seconde, quelque temps après,
je m'engage en Espagne.
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos
Penché, 14570 CLECY.
samedi 16 février 2013
Lettre n°271 du 16 février 2013
Raymond PIERRE Le 16 février
2013 N°271
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
J'en appelle au Président de la République afin que le service action de
la DGSE ne puisse plus condamner quelqu'un à mort et sans jugement, comme ce
devait être mon cas en 2005 à la clinique Saint-Dominique de Fiers de l'Orne.
Sur ordre de son officier traitant, son directeur, le docteur Jean-François
DOUARD, un urologue, avait en effet tout prévu pour que le 2 août, en pleine
canicule, à midi pile je sois opéré d'un cancer de la prostate par le docteur
Hussein TAHAN et que mon coeur m'ayant lâché, je meurs sur le billard. Tout
prévu, sauf que la réticence des anesthésistes m'amènerait à consulter in
extremis le service d'urologie du CHU de Caen et que le 1er août, le docteur
Stéphane MALLICK me dirait que je n'avais jamais eu rien d'autre qu'un adénome
bénin de la prostate. Effectivement, cela fait huit ans que ma prostate se
porte toujours à merveille. Il est probable que le docteur DOUARD avait déjà
réussi le même coup. Entré à Saint-Dominique pour être opéré d'une simple
hernie inguinale par le docteur Daniel MÉNES, celui-ci m'avait dit qu'ayant
pratiqué cette opération près d'un millier de fois, il n'avait connu que deux
échecs, l'un explicable, l'autre resté inexpliqué: une première victime sans
doute du service action de la DGSE. Il est arrivé qu'en outre l'exécuteur se
trompe de cible. Lors d'un accident de la route monté de toutes pièces comme
moyen d'exécution, un automobiliste fut tué par erreur. On a glosé sur cette
affaire à cause du bruit fait par sa famille. A-t-elle été indemnisée? Le
Président de la République s'est déjà beaucoup grandi en stature et en
notoriété. Il se grandirait aussi en faisant respecter par l'État la
constitution de la France.
Il suffirait qu'une enquête judiciaire soit ouverte et un juge désigné
pour instruire ma plainte du 16 février 2011 contre le docteur DOUARD pour
tentative d'homicide. On découvrirait que ses raison sont les mêmes que celles
pour lesquelles Michel DEBRE m'avait nommé chevalier de la Légion d'honneur; à
savoir que j'avais été le premier à dire, à partir de mai 1967, que les
Américains ne pouvaient pas gagner la guerre du Vietnam et à expliquer
publiquement pourquoi; que pendant trois ans, j'ai mené des tractations avec le
docteur DOUARD et son assurance professionnelle pour ne pas avoir à le mettre
personnellement en cause, car loin d'être le principal coupable, il a toujours
été à mes yeux le pion, sinon le jouet, d'une DGSE très particulière ; qu'au
final l'instruction devrait fondre sur deux grosses pointures de la droite
azuréenne. Je suis en butte à des vindictes. L'esprit de corps a toujours été
la source d'égarements.
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos
Penché, 14570, CLÉCY.
samedi 9 février 2013
Lettre n°270 du 9 février 2013
Raymond PIERRE le 9 février 2013
N° 270
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Ma dernière lettre remonte au 12 janvier 2013. Presque un mois pendant
lequel j'ai été opéré en deux fois, les 16 et 30 janvier dernier, au service de
stomatologie du CHU de Caen, par le docteur Victor FAU, sous la direction du
docteur Patrick BORIES, pour "maltraitance", un néologisme* créé
par la médecine pour dire que dans mon cas, le docteur Jack GUIVARC'II,
chirurgien dentiste à Clécy, qui, en 2010, m'avait posé une prothèse dentaire,
n'aurait jamais dû me laisser toutes les racines dans la mâchoire. C'est une
hérésie. La conséquence de cette grave faute professionnelle est que le 18 août
2012, alors qu'il a quitté définitivement Clécy en mars pour prendre ailleurs
sa retraite, j'ai plein d' abcès dans la bouche, mais plus de dentiste. Sur le
conseil d'amis, je fais appel au docteur Emmanuel CORREIA DE MELO, chirurgien
dentiste à Condé-sur-Noireau. Rentré de vacances le 20 août, il traite
immédiatement mes abcès et tout de suite après, fait établir à Flers par une
société d'imagerie médicale un panoramique dentaire pour visualisation des
racines résiduelles. Son résultat est accablant pour GUIVARC'H et pas seulement
à cause des racines. D'où la décision du docteur CORREIA de me faire opérer au
CHU de Caen.
*des médias ont déjà parlé de maltraitance, au lieu de mauvais
traitements, à propos de sévices infligés à un enfant Le mot devrait rester médical.
Comme impacter l'aurai dû....
Sachez que sorti de la faculté de médecine de Rennes, Jack GUIVARC'H
avait été condamne par les assises de l'Ile et Vilaine à dix ans de prison pour
tentative d'assassinat de son épouse. Alors qu'il avait commence a l'empoisonner
par doses homéopathiques, son beau-père, qui était médecin, la voyant dépérir
sans aucune raison de santé, avait alerte la police Il ne fait aucun doute que
c'est de propos délibéré, pour me mettre sur le carreau, que GUI VARC'H avait
laisse toutes les racines sous ma prothèse dentaire J'ai connu pire En 2005, la
clinique Saint-Dominique a Fiers de l'Orne avait tout prévu pour que le mardi 2
août à 12H00, en pleine canicule, le docteur Hussein TAHAN m’opère de la
prostate Tout, sauf que, le 26 juillet, je fuirais Saint-Dominique et que reçu
le 1er août au CHU de Caen par le docteur Stéphane MALLICK, urologue, il me
dise que je n'avais rien de plus qu'un adénome bénin de la prostate Le 14
novembre 2005, il m'enlève une sonde que je trimballe depuis plus de 4 mois,
alors que je n'aurais jamais dû avoir a en porter. Quatre ans après, le 8
septembre 2009, son successeur, le docteur Latifa ROUACHE, écrit a mon médecin
traitant, le docteur Philippe JARDIN, que je vais très bien et que mon suivi
urologique n'est plus à poursuivre. Depuis lors, deux analyses ont confirmé que
vu mon âge, question prostate, je me porte comme un charme. Le 16 février 2011,
j'ai porté plainte par lettre recommandée avec avis de réception auprès de
Madame Catherine DENIS, procureur de la République à Caen, pour tentative
d'homicide. Je n'ai pas de réponse.
Je voudrais oeuvrer afin que permise en France la connivence, qui
consiste à s'entendre entre avocats adverses sur le dos d'une des parties,
devienne punissable. Qui pourrait me dire ce qu'il en est de la question dans
les autres pays européens ?
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos
Penché, 14570 CLECY.
samedi 12 janvier 2013
Lettre n°269 du 12 janvier 2013
Raymond PIERRE le 12 janvier
2013 N° 269
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Sylvie CROSSMAN, Indigènes Éditions, 1 impasse Jules Guesde, à
Montpellier est la première éditrice des opuscules à 3 euros pièce qui ont valu
à Stéphane HESSEL d'être mondialement connu. Le 26 avril 2011, je lui envoie un
exemplaire de ma lettre aux conseillers municipaux de Clécy N° 214 du même
jour, dans laquelle je pose à ce fin connaisseur des Nations-Unies la question
de savoir ce qu'il pense d'une abolition par son Assemblée générale de la
guerre considérée comme un crime contre I' humanité et, d'autre part, de l'idée
de ramener en Suisse le siège de la plus haute institution internationale. Je
la prie de l'interroger elle-même, en mon nom, sur ces deux points J'ajoute: «
Par courrier séparé, je vous envoie aussi le manuscrit de mon livre Qui était
l'inconnu de l'avion du général Leclerc ? Ou la grande imposture, non publié
par respect d'un devoir de réserve que j'ai de bonnes raisons de jeter par-dessus
les moulins. Je m'en remets à vous du soin de le faire paraître, si cela vous
était possible ». Depuis ce jour-la, malgré des rappels de toutes sortes, je
n'ai jamais pu obtenir la moindre réponse de Sylvie CROSSMAN, ni surtout
qu'elle me rende un manuscrit auquel je tiens beaucoup, parce qu'imprimé à
Marrakech, sous couverture cartonnée, par notre fille Fabienne.
En revanche, depuis cinquante ans que nous vivons ensemble, nous avons
toujours eu de par la famille de ma femme des attaches montpellieraines.
Pendant l'offensive du Têt, tous les lycées étant fermés à Saigon, nous avions
envoyé nos deux filles, Corinne et Fabienne, à Montpellier, chez leur père,
afin qu'elles puissent poursuivre leurs études en France. C'était tomber de
Charybde en Scylla: à peine venaient-elles d'arriver à bon port, qu' à cause
des grèves de mai 68, les lycées de Montpellier fermaient à leur tour.
Notre petite-fille, Candice PENDINO, qui a travaillé à Montpellier, au
siège de la Société Générale, s'est mariée les 22 et 23 juin dernier, à la
mairie de Mougins et à l'église de Valbonne, avec Christophe PIONNIER, frère de
Laurent PIONNIER, goal au club de football de Montpellier. Elle s'est saisie de
mon affaire de manuscrit. C'est une battante. Avant de partir, le 28 décembre, en
voyage de noces au Sri-Lanka et aux Maldives, elle appelle Sylvie CROSSMAN
par téléphone. Comme toujours, c'est un homme qui lui répond qu'elle n'a jamais
reçu mon manuscrit, qu'il avait eu beau chercher, qu'il n'en avait pas trouvé
trace. Je lui ai fourni la preuve qu'expédié en Colissimo le 26 avril 2011, il
avait été délivré par La Poste à Sylvie CROSSMAN le 28 avril 2011 Elle
reprendra l'affaire à son retour. J'espère qu'à défaut de savoir ce que pense
Stéphane HESSEL d'une abolition de la guerre et de la restitution à l'Europe du
siège de la plus haute institution internationale, vous saurez ce qu'a fait
Sylvie CROSSMAN de mon précieux manuscrit. Si elle me le renvoyait sans mot
dire, j'en tirerais des déductions parlantes.
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos
Penché, 14570, CLECY
samedi 5 janvier 2013
Lettre n°268 du 5 janvier 2013
Raymond PIERRE le 5 janvier 2013
N° 268
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Pour repartir du bon pied en ce début d'année, je saisis les autorités
concernées, à tous les échelons du pouvoir, des faits suivants:
1/ Le 16 novembre 2012, j'écris à la Chambre départementale des Notaires
du Calvados, 6 place Guillouet à Caen: « La mairie de Clécy est entourée d'un
mur dont une partie a été démolie pour donner aux deux propriétés contiguës un
accès direct au domaine communal, Est-il exact que ces ouvertures d'accès
auraient du faire l'objet d'actes notariés ? Si oui, qu'adviendra-il de la
question en cas de vente de ces propriétés ? ». Sans réponse, je téléphone.
Après quoi, le 27 novembre, j'écris à Maître Hubert GAUDRE notaire, 7 rue de Bretagne,
à Alençon: « La Chambre des Notaires du Calvados à Caen, à qui j'avais adressé
la lettre dont ci-joint copie, me dit que c'est à vous de me répondre. Je vous
prie de m'excuser de n 'avoir pas retenu en quelle qualité exactement. Il m'a
été confirmé, d'autre part, qu'aucun acte notarié n'avait été établi. Je vous
remercie par avance de bien vouloir me fournir le renseignement demandé ».
Pourquoi n'ai-je pas pu, malgré mes rappels, obtenir de réponse ?
2/ Le 5 décembre 2012, j'adresse à Monsieur Jean-Pierre LIBEAU, délégué
du procureur au tribunal de grande instance de Caen, la lettre suivante: « J'ai
reçu hier, 4 décembre, votre convocation du 28 novembre 2012. d'avoir à
comparaître devant vous le 19 décembre 2012 en vue d'un rappel à la loi. Pour
me permettre d'y déférer, je vous prie
de trouver ci—joint copie de ma lettre du 1er décembre 2012 dans laquelle
j'écris à Monsieur Michel BAR, maire de Clécy :
1/ Sur quel texte de loi ou
décision officiels, vous êtes-vous fondé pour affirmer que le rapport des Ponts
et Chaussées concernant la sécurisation des Rochers de la Cambronnerie à Clécy
n'était pas communicable en photocopie, mais uniquement consultable en mairie ?
Je lui réitérais sur ce point ma demande du 7 novembre 2012. Je vous serais
reconnaissant de bien vouloir faire en sorte que d'une manière ou d'une autre
réponse me soit donnée à cette question préjudicielle ». Par lettre du 11
décembre 2012, je demande à Madame Catherine DENIS de bien vouloir « me faire
parvenir une copie du dossier concernant la plainte déposée contre moi le 25
septembre 2012 par Monsieur Michel BAR, maire de Clécy, pour vole de document
en mairie » Toujours sans réponse de M. LIBEAU, je ne défère pas, par contre, à
sa convocation.
3/ De son côté, Monsieur Michel BAR, maire de Clécy, n'a pas répondu à
ma lettre du 4 décembre par laquelle je l'ai accusé publiquement d'avoir, de
connivence avec son avocat, fait intenter par Monsieur Main HAMEL un procès au
civil contre la commune de Clécy infondé et perdu d'avance, tout cela pour
sauver Claude HERGAULT, maire de Clécy à l'époque, de la commission d'un délit
de mise en danger de la vie d'autrui, dont il est l'unique responsable. En
conséquence, par lettre déposée à la mairie le 19 décembre, je l'ai mis en
demeure de répondre à cette accusation et de me dire, comme je le lui ai
demandé, combien a coûté jusqu'à présent à la commune de Clécy, en frais
d'avocat, ce procès bidonné.
Qu'en est-il au 5 janvier 2013 ? Pas de signe de vie de Jean-Pierre
LIBEAU. Pas de réponse de Michel BAR à ma mise en demeure. Rien de surprenant à
cela. C'est la trêve de Noël. Patience, s'il ne m'arrive rien de mal, je
continuerai à vous informer du fonctionnement de la justice dans le ressort de
la cour d'appel de Caen. En attendant, parlons d'autre chose :
La France de HOLLANDE a rendu visite à l'Algérie de BOUMEDIENNE Sous de
bons auspices. Le contentieux historique né du fait que la France n'a jamais
été aussi colonialiste que sous sa Troisième République avait fait l'objet d'un
accord concerté, mais qui ne pouvait pas et ne pourra jamais satisfaire tout le
monde, d'un côté comme de l'autre. En faisant du passé table rase, la théorie
d'une accession à des seuils de plus grande conscience permet à des nations qui
se sont longtemps combattues de se consacrer dès lors à leur avenir commun dans
la paix, l'amitié et la prospérité. Cette généreuse idée a été lancée à Pékin,
le 30 mars 1941, dans une adresse intitulée
L'ÂME NOUVELLE POUR UN MONDE NOUVEAU
UNE FOI RENOUVELEE AU PROGRES HUMAIN
par le Père Teilhard de Chardin, un savant qui s'étant fait jésuite pour
le besoin de ses recherches n'a jamais été vu d'un bon oeil dans le monde
chrétien La science se fonde sur l'explication des phénomènes. La théorie d'un
franchissement de seuils de plus grande conscience s'applique tout aussi
parfaitement aux guerres entre catholiques et protestants qu'aux guerres entre
Français et Allemands.
Dans le monde actuel, l'accès à des seuils de plus grande conscience
connaît, par contre, une faillite retentissante. On ne peut pas être plus
frères que les Israéliens et les Palestiniens le sont. Ils ont le même berceau
ethnique: le Koweït, la même langue sémitique, des similitudes de traits
parfois frappantes, le même balancement dans la prière, le keffieh est le
pendant de la kippa, ce sont des frères ou à la limite des cousins que la
Diaspora a dispersés, leur guerre est encore plus absurde que celles entre
Allemands et Français, le mur qui les sépare est encore plus un mur de la honte
que le mur de Berlin. Un seuil de plus grande conscience aurait été franchi si,
au moment de camp David, les Israéliens et les Palestiniens avaient alors, d'un
commun accord, entrepris de construire ensemble un état confédéral ayant
Jérusalem pour capitale Cette occasion manquée a été définitivement perdue a
cause du fanatisme exacerbe d'une minorité de religieux et par la faute d'un
gouvernement israélien qui leur emboîte toujours le pas. Expert en rapport de
force entre entités combattantes, H m'apparaît que l'état d'Israël s'est
condamné à être détruit.
La seule chance qui reste aux Israéliens, c'est l'abolition de la guerre
considérée comme un crime contre l'humanité par l'Assemblée générale de l'ONU.
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos Penché - 14570 CLECY
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