Raymond PIERRE le 12 mars 2013
N° 273
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Trois faits prouvent que le ministère de la Justice est contre moi :
1/
Bien que par lettres du 21 novembre 2012 et des 8 janvier et 13 février 2013,
cinq ministères, dont ceux de l'Economie et des Finances et du Redressement
Productif, l'aient instamment prié de bien vouloir me répondre au sujet des
questions que je lui avais posées, le ministère de la Justice n'en a rien fait.
Résultat: les intéressés ne savent toujours pas s'il est légal ou non que le
mur d'enceinte de la mairie de Clécy ait été en partie démoli pour donner aux
deux propriétés contiguës un accès direct au domaine communal, et cela sans
qu'aucun acte notarié ait été signé.
2/ Il n'a pas voulu me dire pour quelle
raison le procureur de la République à Caen n'a donné aucune suite à ma plainte
auprès de lui pour tentative d'homicide médical. Une enquête judiciaire aurait
permis d'établir que le directeur de la clinique n'avait été que l'exécutant de
la volonté du directeur de la DGSE de m'éliminer. Aussi longtemps que la
justice n'aura pas dévoilé son nom et que je serai en passe de le donner
moi-même, je resterai sous le coup de mesures de rétorsion.
3/ Il s'est
également refusé à prendre en considération mon affirmation selon laquelle
c'est de connivence avec l'avocat de la commune de Clécy que celui d'Alain
HAMEL a intenté contre elle un procès au civil condamné d'avance à finir dans
les limbes. Ajoutez à cela que le ministère de la Justice n'a pas répondu non
plus à mon appel visant à savoir si d'autres pays européens considèrent la
connivence comme de droit. En conclusion, le respect de la loi exige du
ministère de la Justice qu'il donne à ma plainte pour tentative d'homicide médical
la suite qui s'impose et dévoile dans le cadre de son instruction le nom du
directeur de la DGSE qui voulait me faire passer de vie à trépas le 2 août 2005
à Fiers. Je peux déjà vous dire qu'il s'agit d'un antigaulliste de droite et
que son agressivité envers moi est liée à mes services dans la guerre du
Vietnam. La justice doit être la même pour tous.
Sous le titre KIKADI, j'ai publié à compte d'auteur dans les années 2000
une série de lettres consacrées aux paroles et écrits du futur Benoît XVI, dont
sa leçon aux étudiants de la Sorbonne après mai 68. Sa démission m'apparaît
comme une conséquence logique de l'allongement de la durée de la vie humaine,
qui l'a poussé à se retirer afin d'assurer jusqu'à sa mort la dignité de son
pontificat. Son exemple a de grandes chances d'être suivi par ses successeurs et de faire date dans les annales de l'Eglise.
Je suis largement revenu de mon admiration pour Stéphane Hessel. Pour
plusieurs raisons. Je ne vous en donne qu'une aujourd'hui. Je suis, en effet,
persuadé que c'est à lui que Sylvie CROSSMAN, son éditrice à Montpellier, a
donné le manuscrit imprimé sous couverture cartonnée noire de mon livre: Qui
était l'inconnu de l'avion du général Leclerc ? Ou la grande imposture. Pourquoi
? Tout simplement parce que je ne vois pas quel autre motif elle pourrait avoir
de mentir en prétendant ne l'avoir jamais reçu. Je n'aurai de cesse qu'il me
soit rendu.
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos Penché, 14570, CLECY
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