Raymond PIERRE le 9 février 2013
N° 270
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux de Clécy,
Ma dernière lettre remonte au 12 janvier 2013. Presque un mois pendant
lequel j'ai été opéré en deux fois, les 16 et 30 janvier dernier, au service de
stomatologie du CHU de Caen, par le docteur Victor FAU, sous la direction du
docteur Patrick BORIES, pour "maltraitance", un néologisme* créé
par la médecine pour dire que dans mon cas, le docteur Jack GUIVARC'II,
chirurgien dentiste à Clécy, qui, en 2010, m'avait posé une prothèse dentaire,
n'aurait jamais dû me laisser toutes les racines dans la mâchoire. C'est une
hérésie. La conséquence de cette grave faute professionnelle est que le 18 août
2012, alors qu'il a quitté définitivement Clécy en mars pour prendre ailleurs
sa retraite, j'ai plein d' abcès dans la bouche, mais plus de dentiste. Sur le
conseil d'amis, je fais appel au docteur Emmanuel CORREIA DE MELO, chirurgien
dentiste à Condé-sur-Noireau. Rentré de vacances le 20 août, il traite
immédiatement mes abcès et tout de suite après, fait établir à Flers par une
société d'imagerie médicale un panoramique dentaire pour visualisation des
racines résiduelles. Son résultat est accablant pour GUIVARC'H et pas seulement
à cause des racines. D'où la décision du docteur CORREIA de me faire opérer au
CHU de Caen.
*des médias ont déjà parlé de maltraitance, au lieu de mauvais
traitements, à propos de sévices infligés à un enfant Le mot devrait rester médical.
Comme impacter l'aurai dû....
Sachez que sorti de la faculté de médecine de Rennes, Jack GUIVARC'H
avait été condamne par les assises de l'Ile et Vilaine à dix ans de prison pour
tentative d'assassinat de son épouse. Alors qu'il avait commence a l'empoisonner
par doses homéopathiques, son beau-père, qui était médecin, la voyant dépérir
sans aucune raison de santé, avait alerte la police Il ne fait aucun doute que
c'est de propos délibéré, pour me mettre sur le carreau, que GUI VARC'H avait
laisse toutes les racines sous ma prothèse dentaire J'ai connu pire En 2005, la
clinique Saint-Dominique a Fiers de l'Orne avait tout prévu pour que le mardi 2
août à 12H00, en pleine canicule, le docteur Hussein TAHAN m’opère de la
prostate Tout, sauf que, le 26 juillet, je fuirais Saint-Dominique et que reçu
le 1er août au CHU de Caen par le docteur Stéphane MALLICK, urologue, il me
dise que je n'avais rien de plus qu'un adénome bénin de la prostate Le 14
novembre 2005, il m'enlève une sonde que je trimballe depuis plus de 4 mois,
alors que je n'aurais jamais dû avoir a en porter. Quatre ans après, le 8
septembre 2009, son successeur, le docteur Latifa ROUACHE, écrit a mon médecin
traitant, le docteur Philippe JARDIN, que je vais très bien et que mon suivi
urologique n'est plus à poursuivre. Depuis lors, deux analyses ont confirmé que
vu mon âge, question prostate, je me porte comme un charme. Le 16 février 2011,
j'ai porté plainte par lettre recommandée avec avis de réception auprès de
Madame Catherine DENIS, procureur de la République à Caen, pour tentative
d'homicide. Je n'ai pas de réponse.
Je voudrais oeuvrer afin que permise en France la connivence, qui
consiste à s'entendre entre avocats adverses sur le dos d'une des parties,
devienne punissable. Qui pourrait me dire ce qu'il en est de la question dans
les autres pays européens ?
Croyez, Mesdames et Messieurs, à mes sentiments les meilleurs.
Le Clos
Penché, 14570 CLECY.
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